Un blog de l'hyperfiction intitulée "La disparition du Général Proust" : Général Proust, Les écrits de Marc Hodges, Vie sexuelle de M H, Jean-Pierre Balpe, Un roman de Marc Hodges, Les inédits de Marc Hodges, Le journal de Charlus, Les poèmes de JPB, Le premier album photo de Marc Hodges, Le second album photo de Marc Hodges, L'album photo de JPB, Le carnet d'Oriane, Les poèmes érotiques de MH à G, Les écrits de Jean-Pierre Balpe"… Extrait du roman La Toile (ed. Cylibris)

02 novembre 2006

Fin des messages cryptés

Brisbane, dimanche 27/12/2015, 10:52:43

La fin se traduirait ainsi : “si letTrefin="SARPEDON" alors — mettre tiTre dans ct chp(sarpedon) — fin si fin si…” Cette possibilité de “traduction” renforce son hypotthèse… Nous serions dans la même hypothèse que celle précédente : des algorithmes transcrits dans des langues diverses et, dans ce cas, surcodés. Trente-trois pour cent des fichiers sont de cette nature. Mais nous n’avons pas encore réussi à identifier toutes les langues sources.

— Des textes à consonance “poétique” ou “mystique” comme l’extrait suivant d’un texte traduit du dialecte chinois chan par le professeur He Mao des universités de Pékin, Delhi, Vancouver et San Diego : “L’intime des consciences se cache, laissant des traces intelligibles, du côté de l’horizon, sous des replis de lumière, mais comment? Le “comment” ne se devine que du dehors, tandis que le dedans du mystère, c’est à l’Essence divine pour Elle-même…” Vingt-sept pour cent des fichiers peuvent être classés dans ce groupe.

— Enfin des textes qui nous restent totalement incompréhensibles. Nous pensons qu’il s’agit de modes de cryptages sophistiqués ou de documents ne se référant, à aucun niveau, à une langue naturelle. Ils représentent les neuf pour cent restant. Par exemple, cet extrait du fichier n° 321 pour lequel nous n’avons aucune suggestion :

“ ¿%( _=-- - ¿%( _=--

Je vous fais parvenir l’ensemble de vos fichiers tels que nous avons pu les traduire. Votre cybercompte sera débité sous huitaine de la somme de 123 $ représentant les frais d’interprétation et de traduction. Merci d’avoir fait appel à nous.”

Lorsque ce rapport s’inscrit sur les mémoires de l’ordinateur de Blaise Carver, il est à Londres vingt et une heures quarante-neuf, le projecteur de communication est éteint, Laurence et Blaise ont autre chose à faire que s’occuper de Kharamidov.