Des fichiers de toutes natures

Daudinka, lundi 28/12/2015, 05:45:19

Le contenu des fichiers a confirmé l’analyse du professeur Amraoti de Brisbane, analyse qui a transité par le serveur de Blaise Carver : il s’agit pour l’essentiel de listings et de programmes informatiques. Certains des programmes informatiques sont des logiciels de cryptage permettant de travailler les images des mandalas ; d’autres sont des logiciels d’extraction de données qui indiquent comment interpréter les formats de données, comment les traduire et où faire parvenir les nouvelles informations ainsi produites. D’autres encore ont des fonctions qu’elle n’a pas réussi à déterminer. Quant à leur usage réel, pour l’instant, Irina n’a pas de réponse. Quels sont les fichiers de données originaux, où se trouvent-ils, à quelles fins Sarpedon les exploite-t-il, comment fonctionnent ces listes ? Mystère… La réponse n’est pas dans les listes. D’autres encore semblent être des listes de comptes bancaires doublées des codes correspondants, peut-être dérobées à des sociétés de vente sur réseau, à des sociétés de garantie fiscale ou à des centres de comptabilité du cybercash. Si cette hypothèse se vérifiait, elle serait la plus intéressante : elle signifierait peut-être que Sarpedon essaie de soutirer de l’argent — légalement ou non ?—, un peu partout dans le monde, d’un nombre important de personnes. Pour l’instant ce n’est qu’une hypothèse. D’autres fichiers enfin sont des logiciels dans des langages informatiques très particuliers qu’elle ne connaît pas, dont elle ne comprend pas l’usage. Certains, constitués simplement de zéros et de uns semblent être en assembleur. Enfin, il y a des textes mystiques en clair ainsi que des textes mystiques cryptés. Pour Irina, même s’il y en a certainement une, la différence ne saute pas aux yeux… Textes publics et textes réservés à des initiés… peut-être. Tous lui paraissent aussi obscurs. Pour en être sûre, il faudrait qu’elle ait une connaissance plus approfondie de la mystique. Ce n’est pas son domaine. Blaise verra avec ses spécialistes.